Dame d'atout
de Alexis Lecaye
Alexis Lecaye Dame d'atout pdf download - Dame d'atout a été écrit par Alexis Lecaye qui connu comme un auteur et ont écrit beaucoup de livres intéressants avec une grande narration. Dame d'atout a été l'un des livres de populer sur 2016. Il contient 480 pages et disponible sur format . Ce livre a été très surpris en raison de sa note rating et a obtenu environ avis des utilisateurs. Donc, après avoir terminé la lecture de ce livre, je recommande aux lecteurs de ne pas sous-estimer ce grand livre. Vous devez prendre Dame d'atout que votre liste de lecture ou vous serez regretter parce que vous ne l'avez pas lu encore dans votre vie.Rang parmi les ventes Amazon: #171261 dans LivresPublié le: 2014-01-03Langue d'origine: FrançaisDimensions: 7.01" h x .75" l x 4.29" L, Reliure: Poche480 pagesExtraitDimanche 28 août, midi. Elle gisait à ses pieds, nue, sur le ventre, les bras écartés, les jambes à moitié repliées, comme si elle courait encore. L'instant d'avant... Il n'arrivait pas à la regarder, et pourtant, ses yeux se tournaient sans cesse vers elle. Fascination. Répulsion. Pourquoi avait-elle tenté de s'enfuir ? Fabienne et les enfants allaient arriver. Terreur. La panique le fit presque uriner sur lui. Il prit son portable et composa un numéro de mémoire, un des rares numéros qu'il n'avait jamais oublié. Il raccrocha aussitôt. - Je suis cinglé, dit-il à haute voix. Il fouilla dans la chambre des enfants et trouva la carte téléphonique. Il sortit par-derrière, emprunta l'allée qui passait au fond du parc, et déboucha dans la rue. Personne. La cabine téléphonique était à quelques mètres. En état. Il introduisit la carte et recomposa le même numéro. - C'est moi. Charlie, dit-il. J'ai fait une connerie. J'ai besoin que tu m'aides. Tout de suite. L'autre resta silencieux. Cela faisait plusieurs années qu'il n'avait pas entendu cette voix, mais il ne demanda pas qui était son interlocuteur. - Qu'est-ce qui se passe ? dit-il enfin. - Tout de suite, répéta Charlie. Je suis à la campagne. C'est un terrible accident. J'ai besoin de toi. - Tu as des menottes ? demande Marion à Martin. - Oui, je dois avoir ça, quelque part au bureau. Pourquoi ? Elle ne répondit pas et il se tourna vers elle. Ils étaient étendus côte à côte sur le lit. Leurs vêtements étaient éparpillés en partie sur le sol, en partie sur le drap froissé. Le petit Rodolphe était chez la mère de Marion. Ils avaient fait l'amour après un déjeuner léger et s'étaient endormis paresseusement. À présent elle le regardait avec une lueur dans l'oeil. Martin sourit. - Des menottes, dit-il. Tiens donc... Pour toi ou pour moi ? Elle rougit un peu. - C'était juste une idée comme ça... Tu trouves ça nul ? Martin regarda autour de lui. Il n'y avait ni montant ni poignée où accrocher un bracelet de menotte. Le radiateur, peut-être... Elle comprit la direction de ses pensées en suivant son regard. - Non, pas le radiateur, c'est trop glauque. Et puis... Ça ne serait pas très commode. Mais tu pourrais juste m'attacher les mains dans le dos, sur le lit. - Et ensuite ? - Comment ça, «et ensuite» ? À toi de jouer ! Martin lui enfonça l'index dans les côtes et elle poussa un cri. Elle se rua sur lui, le chevaucha et il l'empoigna par les hanches. Ses doigts s'enfoncèrent dans la chair douce. Elle avait un peu grossi. Elle se colla à lui et lui mordilla le cou. - Oui, je sais, pas la peine de me le faire remarquer, je suis une grosse vache, mais je commence un régime demain. Le portable de Martin sonna. - Merde, c'est dimanche, gémit-elle. - C'est peut-être Isa, dit Martin sans conviction en portant le téléphone à son oreille. Marion vit le visage de Martin se fermer et se durcir. Ce n'était pas Isa et ce n'était pas quelque chose de plaisant. La récréation était terminée.Présentation de l'éditeurLe commissaire Martin est appelé au milieu de la nuit : le corps d'une fillette vient d'être retrouvé sur le périphérique entre Paris et Pantin. Malgré ses années de service, Martin ne peut s'habituer aux meurtres d'enfants et c'est animé d'une rage folle qu'il se rend sur les lieux du crime. Très vite, l'enquête le conduit au domicile d'un certain Akim Fédiche. Mais l'homme, récemment sorti de prison, semble impossible à confondre et les recherches restent vaines. Jusqu'à ce qu'on le retrouve pendu, en pleine forêt, à une centaine de kilomètres de Paris dans un simulacre de suicide…ExtraitDimanche 28 août, midi.Elle gisait à ses pieds, nue, sur le ventre, les bras écartés, les jambes à moitié repliées, comme si elle courait encore. L'instant d'avant...Il n'arrivait pas à la regarder, et pourtant, ses yeux se tournaient sans cesse vers elle. Fascination. Répulsion. Pourquoi avait-elle tenté de s'enfuir ? Fabienne et les enfants allaient arriver. Terreur. La panique le fit presque uriner sur lui.Il prit son portable et composa un numéro de mémoire, un des rares numéros qu'il n'avait jamais oublié. Il raccrocha aussitôt.- Je suis cinglé, dit-il à haute voix.Il fouilla dans la chambre des enfants et trouva la carte téléphonique.Il sortit par-derrière, emprunta l'allée qui passait au fond du parc, et déboucha dans la rue. Personne. La cabine téléphonique était à quelques mètres. En état.Il introduisit la carte et recomposa le même numéro.- C'est moi. Charlie, dit-il. J'ai fait une connerie. J'ai besoin que tu m'aides. Tout de suite.L'autre resta silencieux. Cela faisait plusieurs années qu'il n'avait pas entendu cette voix, mais il ne demanda pas qui était son interlocuteur.- Qu'est-ce qui se passe ? dit-il enfin.- Tout de suite, répéta Charlie. Je suis à la campagne. C'est un terrible accident. J'ai besoin de toi.- Tu as des menottes ? demande Marion à Martin.- Oui, je dois avoir ça, quelque part au bureau. Pourquoi ? Elle ne répondit pas et il se tourna vers elle. Ils étaient étendus côte à côte sur le lit. Leurs vêtements étaient éparpillés en partie sur le sol, en partie sur le drap froissé. Le petit Rodolphe était chez la mère de Marion. Ils avaient fait l'amour après un déjeuner léger et s'étaient endormis paresseusement.À présent elle le regardait avec une lueur dans l'oeil. Martin sourit.- Des menottes, dit-il. Tiens donc... Pour toi ou pour moi ? Elle rougit un peu.- C'était juste une idée comme ça... Tu trouves ça nul ? Martin regarda autour de lui. Il n'y avait ni montant ni poignée où accrocher un bracelet de menotte. Le radiateur, peut-être... Elle comprit la direction de ses pensées en suivant son regard.- Non, pas le radiateur, c'est trop glauque. Et puis... Ça ne serait pas très commode. Mais tu pourrais juste m'attacher les mains dans le dos, sur le lit.- Et ensuite ?- Comment ça, «et ensuite» ? À toi de jouer !Martin lui enfonça l'index dans les côtes et elle poussa un cri. Elle se rua sur lui, le chevaucha et il l'empoigna par les hanches. Ses doigts s'enfoncèrent dans la chair douce. Elle avait un peu grossi. Elle se colla à lui et lui mordilla le cou.- Oui, je sais, pas la peine de me le faire remarquer, je suis une grosse vache, mais je commence un régime demain.Le portable de Martin sonna.- Merde, c'est dimanche, gémit-elle.- C'est peut-être Isa, dit Martin sans conviction en portant le téléphone à son oreille.Marion vit le visage de Martin se fermer et se durcir. Ce n'était pas Isa et ce n'était pas quelque chose de plaisant. La récréation était terminée.Biographie de l'auteurBien connu des lecteurs du Masque depuis Julie Lescaut, Alexis Lecaye est aussi scénariste, producteur et réalisateur. Il vit à Paris.
Détails de Dame d'atout
Titre du livre : Dame d'atout
Auteur : Alexis Lecaye
ISBN-10 : 2702440355
Date de sortie : 2014-01-03
Catégorie : Boutiques
Nom de fichier : dame-d-39-atout.pdf
Taille du fichier : 20.99 (La vitesse du serveur actuel est 28.17 Mbps
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