Certaines n'avaient jamais vu la mer
Livres, Julie OTSUKA
Certaines n'avaient jamais vu la mer par Julie OTSUKA ont été vendues pour 6.60 chaque exemplaire. Le livre publié par 10 X 18 (19 septembre 2013). Il contient 144 pages pages et classé dans le genre genre. Ce livre a une bonne réponse du lecteur, il a la cote 3.7 des lecteurs 187. Inscrivez-vous maintenant pour accéder à des milliers de livres disponibles pour téléchargement gratuit. L'inscription était gratuite.
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Certaines n'avaient jamais vu la mer Julie OTSUKA pdf español - Ces Japonaises ont tout abandonné au début du XXe siècle pour épouser aux États-Unis, sur la foi d'un portrait, un inconnu. Celui dont elles ont tant rêvé, qui va tant les décevoir. Chœur vibrant, leurs voix s'élèvent pour raconter l'exil : la nuit de noces, les journées aux champs, la langue revêche, l'humiliation, les joies aussi. Puis le silence de la guerre. Et l'oubli. D'une écriture incantatoire, Julie Otsuka redonne chair à ces héroïnes anonymes dans une mosaïque de la mémoire éblouissante. Un roman bouleversant. Traduit de l'anglais (États-Unis) par Carine ChichereauVous trouverez ci-dessous quelques critiques les plus utiles sur Certaines n'avaient jamais vu la mer. Vous pouvez considérer cela avant de décider d'acheter / lire ce livre.
Certaines n’avaient jamais vu la mer/Julie Otsuka/ Prix Femina étranger 2012 Pour reprendre les termes de l’auteure, ce roman qui n’en est pas un s’inspire de la vie d’immigrantes japonaises qui arrivèrent aux Etats-Unis à San Francisco au début du XXe siècle. Très bien documenté, ce récit bouleversant mais parfois un peu long relate les vexations et les souffrances dont furent l’objet ces femmes auxquelles on avait dans leur enfance appris qu’une jeune fille doit se fondre dans le décor et être là sans qu’on la remarque. La plupart de ces filles étaient des filles simples de la campagne qui ne parlaient pas anglais et n’avaient d’autres choix que de récurer les éviers et frotter les parquets. Il faut savoir qu’au Japon le métier le plus vil qu’une femme puisse exercer est celui de bonne. Il leur fallut cacher à leur famille du Japon le mensonge dissimulé dans les annonces pour émigrer et leur statut de quasi esclave. Car si elles revenaient un jour au Japon, elles attireraient la honte sur toute la famille et aucun homme ne voudrait plus jamais d’elles. Ces japonaises ont quitté le pays sur la foi du portrait d’un inconnu, souvent truqué, et on ne peut imaginer la déception de ces jeunes filles victimes de la brutalité de leur époux le plus souvent. Leurs misérables vies d’exilées et leurs humiliations sont parfaitement contées par Julie Otsuka grâce à une technique de narration qui exprime la solidarité de l’auteure avec ces jeunes femmes trompées, avilies et exploitées. Une longue plainte pleurant les illusions perdues, une litanie un peu trop longue parfois et surtout en fait impersonnelle, et c’est là ce qui m’a dérangé: aucune de ces femmes ne s’exprime directement. En les faisant toutes parler, on n’en entend aucune qui vous bouleverse au tréfonds de votre âme. Comme l’on dit certains lecteurs, il eut été préférable de voir vivre des personnages identifiables, ciblés et moins nombreux. Pour conclure, j’avoue que j’ignorais tout de cet épisode tragique de l’histoire du Japon.
de Julie OTSUKA
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